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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 01:16
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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 16:11

P1090242

QUELQUES PHOTOS DE L EVENEMENT?

 

UN CLIC CI DESSOUS

 

ICI

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3 septembre 2010 5 03 /09 /septembre /2010 23:55

 

Cité par J.D'Ormesson: " Rien n'est plus vieux que le journal d'aujourd'hui, rien n'est plus jeune qu'Homère"..

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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 13:01

 

ET VOICI ARTHUR QUI ENTRE DANS LE PAYS DE LA VIE...

P1080814

 

POUR VOIR QUELQUES PHOTOS

CLIQUER SUR LE LIEN CI DESSOUS /

 

ARTHUR

 

 

Bonne visite

 

L.Irokoi 2010

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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 11:38

Il n'y a pas de plus profonde solitude que celle du samourai si ce n'est celle d'un tigre dans la jungle... Peut etre...

 

Le Bushido

(le livre des samourai)

 

Cette phrase s'inscrit dès le générique, dès le début du film de Melville, "Le Soumouraï"...

 

Merveilleux film noir avec des acteurs sublimes: Delon, Perier... D'une économie de moyens extraordinaires et d'une écriture cinématographique tellement resserrée qu'on ne s'aperçoit qu'après coup des impossibilités, des erreurs du scénario... et Dieu sait qu'il y en a ... pourquoi Delon se fabrique t il un alibi alors qu'il n'est ni connu de la police comme tueur à gage, ni du milieu de la victime...avec laquelle il n'a aucun lien connu: c'est stupide: il se fabrique un alibi dans une partie de pocker se tenant dans un hotel minable avec des malfrats, endroit où fatalement il y aura une descente de police... il lui suffisait de rester quelques jours dans l'appartement bourgeois de sa maitresse (Nathalie Delon il y a pire!!!), maîtresse  qui, elle non plus, n a rien a voir avec ce milieu interlope...voire même de filer dans une ville de province pour ne pas se faire reperer et au delà impliquer dans cette histoire... étrange non? ou plutôt explicable uniquement si ce "héros" taciturne tenait absolument à se faire prendre, pour que cela s'arrette... cela? ce vide transcendentale où la seule trace de vie, c'est cet oiseau en cage comme lui est en cage dans sa vie... prisonnier d'un personnage... Entre labyrinthe et miroir: on se croirait parfois chez Cocteau...

 

L.I c 2010

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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 19:21

AN ANGEL WITHOUT WINGS IS STILL AN ANGEL; A DEVIL WITHOUT HORNS OR TAIL IS PROBABLY NOT A DEVIL...

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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 18:54

 

      VOICI LE 3 EME PETIT FILS DE LA TRIBU: ARTHUR

 

 

 

      POUR PLUS DE PHOTOS? COPIER LE LIEN CI DESSOUS DANS VOTRE NAVIGATEUR...

ttp://www.facebook.com/album.php?aid=2044889&id=1494804464&l=04e5313f4c

 

 

 


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12 août 2010 4 12 /08 /août /2010 23:04

Trois groseilles écrasées sous mes doigts

Me rappellent les frissons

De cet hiver du Japon.

 

J'ai connu un sorcier vivant au bord d'une rivière.

Entouré de ses chiens, au yeux plus clairs que les siens,

Il écrivait la légende de la lune sur la porcelaine d'une pierre.

 18 P1040471

En ce temps là,

Deux titans au visage sévère,

S'affrontaient en silence.

 

Ils posaient sur l' échiquiers de l'univers,

Des planètes de verre brisé.

C'était la dernière partie, le dernier espoir,

Sans logique comme sans hasard.

 

L'un était Dieu des vents et des nuages;

L'autre de la mer et de ses rivages.

 

Le vainqueur déciderait la dérive de l'univers

Et la route des étoiles.

 

A l'autre sage, le destin des humains

En héritage.

 

 L'encre rouge des groseilles ,

S'effaçait, diluée par la brume du matin,

Le chaman arrêta son récit

Et, d'un geste de la main,

Calma l'inquiétude de ses chiens.

 

Trois groseilles écrasées sous mes doigts

Me rappellent les frissons

De cet hiver du Japon.

 

Je voulus savoir qui avait gagné ce tournoi de géants.

Alors, le sorcier, riant de sa bouche sans dent,

Désigna la lune d'opale qui allait se coucher.

 

«C'est elle, Sœur Lune

C'est elle, l'amie de mes chiens,

Qui gagne tout le temps.

Elle commande aux marées,

Comme à la marche du monde,

Comme au tonnerre qui gronde

Comme au destin des humains»

 

Trois groseilles écrasées sous mes doigts

Me rappellent les frissons

De cet hiver du Japon.

 

LAST IROKOI C 2010

in "LES LEGENDES DE LA LUNE D OPALE"

A KRYSTIN WL

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7 août 2010 6 07 /08 /août /2010 17:41

36 NUIT SUR SUITA 

Il y a le miroir glacé du bois...

S'y reflète, presque effacé,

Le dessin d'une orchidée

 

Lanternes de verre et de papier

lanternes de pierre, vieilles et usées

Où dansent mille flammèches éphémères

L’âme de Dieux oubliés.

 

C'est la nuit sur Osaka,

spectre dans la brume.

Ville alanguie s'offrant

encore rougie de crépuscule

 

C'est la nuit sur Osaka.

A terre, ton kimono jeté

D'où les hirondelles de soie froissée

Semblent vouloir s'envoler...

 

Que se taise le vacarme,

Que s'éteignent les rumeurs

Que se calme le tumulte

 

Dans ce bout du monde,

C'est le milieu de la nuit.

Sur la cloche d'une chapelle

Trois coups grêles s'élèvent.

 

Aux dieux, les prières

et à nous, le silence

il y a dans tes yeux la lumière,

L'étincelle d'une étoile qui danse...

 

Alors, dans ce bout du monde,

Au milieu de la nuit

tu m'appelles en toi

aussi doucement que la première fois.

LES NUITS D'OSAKA

POUR KRYSTIN

ROYAN, 11 JUILLET 2010

(Souvenir de voyage)

 

 

 

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7 août 2010 6 07 /08 /août /2010 11:20
Bruges et ses clochers de pierre
Et Saint-Sauveur et Notre-Dame
Montent, tels des géants, dans l'air.
Mais le plus haut, mais le plus clair,
Celui dont le cadran de flamme,
Comme un soleil luit sur les toitsP1080163
C'est le beffroi;
Il regarde jusqu'à la mer.

Jour de juin - ciel tranquille.
Toute la ville
N'est que clartés et que rayons:
Les lucarnes de ses pignons
Comme des morceaux d'or scintillent

De Heyst et de Wendune,
On l'aperçoit, du haut des dunes,
Régner sur l'horizon flamand:
Ses tours, l'autre après l'une,
Comme des blocs de diamant,
Sortent de l'ardente poussière
Que lui fait la trop forte et torride lumière.

Elle apparaît ainsi, comme enflammée
Dans l'atmosphère ardente,
Ses toits pliés semblent des tentes
D'une poudreuse et fulgurante armée;
Quand ses cloches et ses bourdons fidèles
Sonnent et sonnent,

Toute la campagne est vibrante d'elle;
Et les chemins et les sentiers des horizons,
Au bruit tonnant des sons profonds,
Et les routes des hameaux
Et des plages et des villages,
Et les eaux même des canaux
Semblent marcher d'accord,
A travers le pays qu'elle s'adjuge,
Vers cette gloire en cendre et or :
Bruges!

 
Émile Verhaeren, Toute la Flandre

POUR VOIR D AUTRES PHOTOS CLIQUER SUE LE LIEN SUIVANT / BALLADE EN BELGIQUE / BRUGES BALLADE EN BELGIQUE / BRUGES

 

ou sur Facebook:

http://www.facebook.com/album.php?aid=2043891&id=1494804464&l=6a089959df

 

LASTIROKOI C 2010

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